Lorsque j’ai démarré SLOW WORLD, je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Très franchement, je l’ai tout d’abord lancé pour moi. Je voulais m’exprimer sur ce sujet et partager mes connaissances avec le monde entier (d’où le fait que j’ai ouvert la version anglaise du blog). Je voulais faire ma part…

Quand j’ai découvert la philosophie Slow, j’avais besoin d’exprimer ce que je ressentais : à la fois une joie et une incompréhension.

Une joie car tout ce que je lisais et toutes les informations que je compilais étaient logiques, avaient du sens et sonnaient juste. A chaque problème, il était possible de trouver une articulation grâce à la philosophie Slow. C’était incroyable !

Mon incompréhension était la suivante : pourquoi personne (ou devrais-je dire « très peu de personnes ») n’en parlait ? Du moins, pourquoi le « grand public » ne connaît pas l’existence de ce mouvement ? Si le mouvement avait été lancé en 2016/2017, j’aurais pu le comprendre… C’est nouveau, il faut du temps…

Mais non ! Ce mouvement date des années 80 ! Alors pourquoi ?

J’ai voulu me renseigner sur Internet et je n’ai trouvé que « peu » de sources à ce sujet… C’est après 2 ans de réflexion que je me suis jeté à l’eau… J’ai ouvert SLOW WORLD. Je m’étais même dit en le lançant : « au pire, c’est pas grave, j’ai mis ma pierre à l’édifice, je fais un site avec toutes les pages informatives et je le ferai vivoter de temps en temps, ça servira toujours à quelqu’un ».

Bref ! Tout ça pour dire que je ne m’attendais pas à autant de « résonnance » pour la première année !